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et revoilà le C.N.I.P. …!
La presse toujours soucieuse de promouvoir la candidature de Z nous informe avec tambour et trompettes que le CNIP apporte son soutien à Mr Z. Comme d’ailleurs le comte Philippe de Villiers, Madame Boutin https://sites.google.com/site/jeanpierrerissoan/articles/analyses-politiques2/madameboutinetlepartiradical et, maintenant, Madelin, Longuet et même Bruno Mégret. Le CNIP est un parti politique de la IV° république qui a eu comme icône Antoine Pinay, fabricant de chapeaux à Saint-Chamond et, surtout, ancien membre du Conseil national de Vichy – créature de Pétain – avant d’être président du conseil sous la IV°. Ainsi que je l’écris dans mon livre Traditionalisme et Révolution :« Si l’on prend les grands débats qui agitèrent les assemblées de la IV° république : la construction européenne, la décolonisation, la place de l’exécutif et du Parlement au sein des institutions, la laïcité, le rôle de l’État dans l’économie, la construction de l’État-Providence, les I&P. sont le seul parti qui, sur tous ces points sans exception, s’oppose au PCF. Tous les autres partis ont fait un bout de chemin avec les communistes. Outre le fait que le général de Gaulle a gouverné avec Maurice Thorez, gaullistes et communistes ont mis en place la Sécurité sociale et les nationalisations. Le MRP a aussi gouverné avec les communistes et a proposé l’institution d’un salaire minimum interprofessionnel garanti, le S.M.I.G., que le PCF ne pouvait qu’accepter alors que les I&P le refusèrent. Les radicaux ont combattu pour la laïcité avec les communistes et ont signé avec eux les accords historiques qui ont permis la victoire du Front Populaire. Tous les partis de l’éventail politique français ont, à un moment ou à un autre, gouverner le pays avec des ministres communistes. Tous, sauf le Centre national des Indépendants ».
Ainsi, ce parti moribond renaît de ses cendres pour essayer de redonner une base à Mr. Z. Ce dernier appréciera sans doute les soutiens des maires ruraux que le CNIP a gardé, plus ou moins secrètement dans la France rurale de tradition catholique.